Cabu, l'un des piliers de Charlie Hebdo disparu mercredi était surtout pour moi, le dessinateur des années 1980 dans Récré A2. Comme beaucoup de personnes de ma génération, c'est surtout ce souvenir que je retiens de Cabu. Plus récemment, j'ai eu l'occasion de le croiser dans des salons du livre et je trouvais qu'il n'avait pas changé. Les témoignages qui se multiplient depuis mercredi nous décrivent un homme tel que les enfants des années 1980 pouvaient l'imaginer : quelqu'un de bien, un vrai gentil.
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