Mon ami FalconHill m'a proposé, il y a quelques jours déjà, dans le cadre d'une chaîne, de citer mes trois premiers billets politiques écrits sur ce blog.
Ce blog étant notamment "un espace de dialogue sur la politique locale et nationale", il n'aura fallu attendre que douze jours pour voir apparaître le 25 octobre 2006, ce premier article politique, intitulé : "Parti Socialiste : les "jurys citoyens" au coeur du deuxième débat télévisé". En pleine campagne interne du PS pour désigner son candidat à l'élection présidentielle, la candidate Ségolène Royal avait eu une idée fumeuse (une de plus !) : évaluer l'action des élus par des citoyens tirés au sort, remettant ainsi en cause le fonctionnement de notre démocratie.
Le deuxième billet politique de ce blog a été rédigé deux jours plus tard, le 27 octobre 2006 : "Parti Socialiste : les débats consacrent la division". Je soulignais dans cet article le manque d'unité du PS annonçant même qu'à gauche, "la machine à perdre [était] en marche". Je ne m'étais pas trompé et chacun peut constater que les divisions au sein du PS n'ont fait que s'accentuer depuis cette date.
Enfin, le 10 novembre 2006, j'écrivais mon troisième billet politique, consacré une fois n'est pas coutume à Ségolène Royal et intitulé : "Ségolène Royal prépare la Révolution dans l'Education Nationale". Cette dernière montrait par ses propos, une grande méconnaissance du travail effectué par les enseignants et lançait une charge assez injustifiée contre ceux qui s'investissent dans ce beau métier. Du n'importe quoi... du Ségolène Royal tout simplement.
Et le plus inquiétant c'est que celle qui a été élue, battue lors de l'élection du Premier Secrétaire du PS, il y a un an, ne change pas. Encore ce week-end, personne ne souhaitait sa venue à Dijon pour ce moment de réflexion à gauche ; elle n'était pas invitée, mais peu importe le ridicule, elle s'est rendue dans la préfecture de la Côte-d'Or. A-t-elle essayé de "fraterniser" avec son "ami" Vincent Peillon ? Personne ne le sait. Mais ce qui est sûr aujourd'hui, c'est que son ancien lieutenant, estime que Ségolène Royal "ne pourra pas faire gagner la gauche en 2012". Dans le courant ségoléniste, certains commenceraient donc à ouvrir les yeux ? Avec un peu de "bravitude", d'autres suivront. Mais, mieux vaut tard que jamais.
Comme il s'agit d'une chaîne, je laisse Olivier, vers qui mes pensées se tournent souvent actuellement, et tous ceux qui le souhaitent prendre la suite.
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